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Les bons comptes font les bons amis...[BG]

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Message par Zaraphiel Mar 23 Juil 2013 - 16:18

Prénom: Earl
Nom: Markson
Surnom: Craw
Âge: 33 ans
Date de naissance: 15 février 1980

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Qui a dit que le crime ne paie pas ? Certainement pas moi...
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Tout commença quand Earl débarqua sur Los Santos. Quand je dis tout, je veux parler de son histoire, en fait. C'était en avril 1998, durant ses jeunes années. Dix-huit ans tout rond, rempli d'ambitions. Il voulait être le maitre de la ville, celui qui commande tout, celui que tout le monde
craint. Vraisemblablement, il n'a réussi qu'à entrer dans un petit groupe de malfaiteurs. Il faisait quelques casses par-ci, par là, mais sans plus. Ce n'était pas ce qu'il voulait, non. Il voulait viser haut, bien plus haut. Alors, il voulait partir de son petit gang mal organisé. Bien sûr, il pouvait pas "quitter" son gang, normalement. Il cherchait alors le moyen de se débarrasser d'eux, d'une manière ou d'une autre. Il avait entendu parler de ce qu'on appelle la ricine. Il a alors tendu un piège à tous les membres de son gang. Tous, sans exception. Ils étaient tous conviés, par une lettre signé de la main d'Earl sous le nom de Craw. Lorsqu'ils étaient tous arrivé au lieu de rendez-vous, qui était un container où ils partagèrent un repas. Craw avait bien sûr mis de la Ricine dans toutes les assiettes, sauf la sienne. Trois à cinq jours plus tard, ils étaient tous mort, un par un ...
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    La police ? Oh, vous voulez dire ceux qui ont l'utopie de l'ordre ?
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Quelques jours après la mort de son gang, Earl était harcelé par la police. Il était le principal suspect de ces meurtres. Il était connu pour avoir était impliqué dans plusieurs affaires avec eux et comme c'est le dernier survivant de son groupe, c'était le suspect idéal. Interrogatoire sur interrogatoire, il répondait toujours aux mêmes questions...

- Pourquoi vous les avez tué?

- Je n'ai tué personne.


- Alors, pourquoi une lettre signé de votre fameux surnom "Craw" a été retrouvé chez tous tes amis ?

- Certainement un coup monté, monsieur l'agent.


- Ne me prend pas pour un con ! Tu vas payer pour tes crimes, cher Earl Markson.

- Des promesses, toujours des promesses. Non, je n'ai rien à voir là-dedans, cher Lieutenant.

Il s'en ai sortie cette fois ci. Manque de preuve concrète, pas d'empreinte, juste une lettre signé par le nom Craw, avec une écriture proche de celle d'Earl mais le calligraphe n'a jamais déterminé que c'était bien lui qui avait écrit ses lettres. De plus, il avait un alibi, plusieurs témoins, faux témoins bien sûr, qui l'ont vu à une boite de strip-tease le soir de l'empoissonnement. Comme quoi, l'argent est la plus dangereuse des armes, non ?
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    Hahaha. La prison... C'est de loin mes meilleures années !
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Année 2003... Trois ans après le meurtre de son gang. Dépression et drogues. Voilà ce qu'était devenu son quotidien... Après une overdose qui a failli le tuer, il a fait une cure de dés-intox. Cette cure était bienvenue dans sa vie. Ses ambitions passées remontèrent petit à petit à la surface. La raison de son atrocité était elle aussi revenu à son esprit. Dominer la ville, être celui que tout le monde craint. Une idée est venue à lui. Les casses, c'était pas son truc, non. La drogue. Tout revenait à la drogue. Au lieu de la consommer, il voulait désormais la vendre. Il avait décidé d'aller voir son ancien dealer pour lui demander s'il avait du travail pour lui. Il le mis alors en relation avec un certain "Tommy". Après avoir discuté ensemble, ils étaient devenus des "associés". Le 23 décembre 2003, un gros client avait fait une commande. Plusieurs kilos de coke. Tout c'était bien passé, Tommy avait récupérer l'argent qu'ils devaient se partager après Noël...
La trahison... Il s'est senti trahi, le 24 décembre 2003, quand 15 mecs, armés de M4 ont débarqué chez lui et l'ont emmener loin de chez lui. Surtout quand l'un d'eux, celui qui semblait commandait, avait dit ces mots: "De la part de Tommy, connard." Pour une raison qu'il ne connait pas, il ne l'avait pas tuer. Ils l'ont envoyés directement en taule.

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    Tommy ! Tu vas me le payer !
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Ce fameux 15 février 2007... Après les trois longues années de prison, il était prêt à se venger. Dès sa sortie, grâce à une relation de prison, il put récupérer un 0.22 muni d'un silencieux et parti chez Tommy directement en taxi. Il était arrivé chez lui vers les coups des 18h. Les meubles étaient quasiment neufs ils n'étaient pas bien vieux. Il avait certainement tout dépenser. Earl se mit dans le salon, à la fenêtre en attentant Tommy. Une fois qu'il voyait sa voiture arrivait, il s'est assis dans le fauteil, visant la porte, le doigt sur la gâchette, prêt à tirer. La porte s'ouvrit, lentement... Il braquait son arme sur Tommy en disant ces mots:
- "Bonsoir Tommy. Alors, tu croyais pouvoir m'enculer ? Voler mon argent et m'envoyer en prison ? Et bien mon pote, ça a foiré. T'aurais dû me tuer, pas m'envoyer en taule. Quel beau cadeau d'anniversaire, que de te tuer, Tommy. Adieu."

- " Attends Craw, putain, de quoi tu parles ? J'ai rien fais, merde, pose ce flingue ! Pose ce flingue, j'te dis ! J'ai rien à voir là dedans, bordel, merde ! Attends ! "

- "Trois ans déjà que j'attend ce moment, trois ans. Tu crois pas que j'ai attendu assez longtemps ? Et tu oses me dire que c'est pas toi ? Premièrement, tu es parti avec l'argent. Deuxièmement, tu as essayé de me mettre hors course en m'envoyant en taule. Troisièmement, tu as dépensé mon argent. Et maintenant, tu oses me mentir ?"

- " Mais merde, mec, je t'ai jamais menti ! Je croyais que c'était toi qui t'étais tiré avec ma malette en niquant tout mon appart ! Putain, j'ai pas touché à l'argent, et j'ai jamais voulu t'envoyer en taule ! Je croyais que c'était toi qui t'étais tiré avec la thune touchée à Noel ! Pourquoi tu crois que c'est moi ?! "

- " Ah ouais ? Et pourquoi alors j'ai eu ce message: De la part de Tommy, connard. Tu l'explique, ça ?!"
 
- " Mais non, j'peux pas l'expliquer ! Va y, pose ce flingue, mec, qu'on réfléchisse un peu ! J'te jure que j'ai jamais rien fais envers toi, maintenant pose ce flingue ! "

- " Je veux bien t'écouter encore un peu plus. Mais, montre toi convainquant. C'est quoi, ta version ? T'as fait quoi le 24 ? "


- " Le 24, j'étais chez ma famille pour le réveillon de Noel ! J'avais laissé la malette chez moi, qu'on devait partager le lendemain ! Le lendemain matin, quand je suis revenu, j'avais l'appart en bordel, et plus la malette, j'te l'ai déjà dit ! J'suis allé voir le boss, j'me suis dit que tu t'avais fui le bizness avec la malette, et du coup, il m'a remboursé ma part ! Tu veux quoi, qu'on aille voir mes parents de 70 ans pour leur demander si j'étais bien là le 24 Décembre, et les impliquer dans toute cette merde ?! Si c'est pas moi, ça peut être que... "

- " Si c'est pas toi, ça serait qui hein ?! Oh putain... Merde, ce mec nous a enculé ! "


Earl posa son flingue sur l'accoudoir du fauteil. Tommy avança et pris le flingue d'un air hésitant et regarda s'il était chargé. Puis il l'a tendu vers Earl en disant ces mots:
- " On a du boulot."

- " Ouais. Il est temps que le sang coule..."


Sans se concerter, les deux se dirigèrent dehors et montèrent dans une voiture. Ils partirent directement en direction de chez leur boss.

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Manque moi de respect, tu y gagnera une balle dans la tête.
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Arrivé chez le boss, Earl et Tommy expliqua la situation. Une fois qu'il l'avait compris, c'était l'heure de créer le plan. Tommy eu alors une idée, celle de demander à un de leur client de faire une commande au mec. Une assez grosse commande pour qu'il se déplace en personne, certes avec des gardes du corps, mais en personne. Il avait alors fait commander 100 kg de coke. C'était forcément alléchant, assez pour qu'il se déplace avec ses gardes du corps. Et ça a été le cas. Le rendez vous était fixé dans un vieil entrepôt qui devait être détruit. Earl et les hommes de mains étaient armés de M4 et caché un peu partout dans l’entrepôt délabré. Dès le signal, ils sortirent tous de leur planque et tirèrent sur les hommes avant qu'ils ait le temps de comprendre ce qui se passe. Le sang coula. Des litres et des litres de sang recouvraient le sol. Après avoir récupéré la drogue, ils ont mis le feu à l'entrepôt.

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L'argent est le seul langage universel...
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Earl a écrit:Le 15 juin 2010.

Commencement de ma thérapie à partir de ce jour là. Mon thérapeut m'as conseillé de mettre à l'écriture de ce journal, histoire d'avoir un confident à qui je peux tout dire, autre que lui. J'ai bien Tommy comme ami, mais c'est forcément différent. Un journal est aussi un moyen de se rappeler, de se souvenir de tout événement passé consigné ici. Je n'ai pas grand chose à écrire pour ce jour. Cela fait quelques jours que j'ai commencé cette thérapie, après la mort de notre boss. Un très grand homme, vraiment. Je n'arrive toujours pas à croire qu'il soit mort. Son enterrement est demain dans l'après midi.
Douleur, souffrance, tristesse... Voilà mon état d'esprit. Pas question de reprendre de la drogue cette fois. C'est pour ça que je suis allez voir un psy. Pour éviter le genre de situation qui m'est arrivé dans le passé après les meurtres de mon ancien gang. J'ai été dans le passé un homme plus horrible que celui que je suis devenue. Je suis qu'un vendeur de dope qui peut devenir violent quand on essaye de m'enculer. Je n'hésiterais pas une seule seconde à commanditer un deuxième massacre pour sauver ma peau. Même si ça m'empêche de dormir, de me regarder dans un miroir. La noirceur de mon être est une partie intégrante de moi. Je ne suis pas un assassin non plus, on vie dans une jungle, dans la loi du plus fort. Je me devais de rester le plus fort, pas devenir un junkie accro qui cherche désespérément une dose. C'est eux les premiers à se faire avoir, par nous, ceux qui vendent. On n'aime cependant pas trop les junkies, trop instable dans leur tête pour qu'on puisse leur faire confiance. Le monde du crime est impitoyable.

Le 16 juin 2010.
L’enterrement du boss a été très éprouvant, toute cette tristesse qui était présente. Beaucoup de monde était présent. Toute la famille, la mafia était présente, Tommy compris. Je m'étais efforcé à ne pas montrer mes sentiments devant les autres. Rester digne, rester un homme. Je n'ai pu réellement intériorisé ma colère. J'étais irritable, j'ai frappé un ou deux mecs uniquement car ils m'avaient adressé la parole. Je le regrette un peu, mais ça a dû m'aider à accepter cet état de fait. Mon boss est mort. Cette fois il ne reviendra pas comme une fleur, après une pirouette inespéré. Un mythe est mort. L'intouchable a été tué... La vie se résume-t-elle à ça ? Vivre puis mourir ? Toujours essayer de marquer l'histoire et, par conséquent, la vie de nos successeurs. Marquer le monde de notre présence passé, certains y voit une forme d'immortalité. Un peu comme Michael Jackson et Elvis le sont... Chaque acte de nos vie ont un impact, plus ou moins important. On ne s'en rend pas forcément compte, mais on façonne le monde rien qu'en y vivant.


Le 20 juin 2010.
Deuxième visite chez mon psychiatre. Je commence à croire qu'il va vraiment réussir à m'en sortir. A ce que je ne chute pas à nouveau dans la drogue et l'alcool. Je suis plus optimiste qu'hier sur mon sort. Peut être que mes rêves se réaliseront un jour. Peut être je retrouverais confiance en moi, et surtout, ravoir confiance en l'être humain. L'humanité, c'est ce qui a été créé de plus cruel et de plus immonde. C'est les hommes qui commettent les pires atrocités. Moi même j'ai été capable de tuer. À plusieurs reprises, même. J'ai dû ôté la vie d'au moins vingt personnes... Dont une dizaine en une seule soirée. La loi de la jungle justifie-t-elle ce massacre ? Autre fois, j'aurais clairement répondu que oui. Même si j'ai déjà regretté de les avoir tués, c'était mes amis merde ! J'aurais peut-être pus m'arranger autrement... Mais non, mon stupide cerveau m'as dit de les tuer et je l'ai écouté. Réflexion. Voilà ce qu'il m'as manqué dans le passé, voilà ce que je dois obtenir. Des actes réfléchis, c'est mieux que des actes impulsifs... Non, je ne veux plus tuer. Je vais me débarrasser de toutes mes armes. J'en ai fini de la vie de criminel. Fini de rêver à devenir un homme influent. Fini l'illégalité. Je vais retourner dans le droit chemin.


Le 21 juin 2010.
J'ai pas réussi à jeter mes armes. Je les ai enterrés dans mon jardin, juste enterré. Je ne pouvais pas gaspiller de l'argent... Peut-être qu'un jour, j'en aurais à nouveau besoin, même si je ne l'espère pas. Cependant, je ne pouvais pas me permettre de les jeter. Elles sont juste hors d'atteinte. Cela calmera facilement mes ardeurs. Imaginez, un mec m'énerve vraiment, mais vraiment au point que je veux le tuer. Ne sachant pas me battre et étant peut-être aussi un peu lâche, je vais chercher chez moi une arme. Et là, faut que je creuse, ou que j'aille le buter à coups de pelle, ce qui est vraiment sanguinaire. Non, ce n'est pas mon style les massacres à coup de pelles. Je préfère le travail propre, par exemple une balle dans la tête rapidement. Plutôt que de me salir de sang partout sur la gueule. Non, une balle suffit. Plus rapide à nettoyer comme ça.



[En cours d'écriture]